Co-fondatrice et codirigeante de SOWINE, une agence parisienne en marketing et communication dédiée au monde du vin, du champagne et des spiritueux, Marie Mascré a adhéré au club des ambassadeurs en qualité de mécène.
- Qu’est-ce qui vous relie à la Champagne ?
Je suis née à Reims, je suis donc champenoise et très fière de ma région. J’habite Paris depuis bientôt 20 ans mais j’ai une maison de campagne à proximité des coteaux historiques où je passe une partie de mon temps.
- Quel impact l’inscription a-t-elle sur votre activité et sur vous-même ?
Professionnellement, elle nous donne plus d’éléments de communication et de valorisation de la région pour les clients que nous accompagnons en Champagne. Par exemple, quand on veut parler du Clos des Goisses de Philipponnat à Mareuil-sur-Aÿ ou du Champagne Boizel situé sur l’avenue de Champagne, c’est très valorisant de pouvoir préciser que ces maisons sont au cœur du bien inscrit. Au plan personnel, je suis très contente que ma région - dont je ne suis pas certaine qu’elle faisait autant la fierté de ses habitants avant - soit reconnue et que cela donne potentiellement envie à des personnes de venir s’y installer et surtout que cela donne plus de sens à des séjours touristiques de qualité.
- Pourquoi avoir décidé de vous engager comme ambassadrice mécène ?
La raison est toute simple : nous avons accompagné il y a quelque temps la Cité du Vin à Bordeaux dans la refonte d’une partie de son parcours de visite et nous avons été sollicités pour le faire sous la forme d’un mécénat de compétences. J’ai trouvé très motivant de pouvoir travailler dans ce cadre, dans un échange gagnant-gagnant qui nous rendait fiers de contribuer à cette mission en tant que mécène. Quand j’ai été informée de l’ouverture du club des ambassadeurs l’année dernière, je me suis dit que ce que nous avions fait pour la Cité du Vin, il serait logique de le faire pour la Champagne, parce que je suis Champenoise et que nous y avons beaucoup de clients. Nous avons un fort ancrage historique en Champagne, la boucle était bouclée.
- Qu’attendez-vous de la Mission Coteaux, Maisons et Caves de Champagne ?
A titre personnel, j’accorde de l’importance au confort de vie qu’apportent des lieux où il y a moins de monde et plus d’espace, des espaces qui ne sont pas bétonnisés, sans pollutions paysagères du type éoliennes… En particulier depuis la pandémie, les envies des Français ont évolué dans ce sens. Cette dimension précieuse d’une région sans surpopulation, sans suroccupation des sols, sans constructions dans tous les sens, on la trouve en Champagne, ce qui lui donne une valeur supplémentaire. C’est sur ces notions de rayonnement, de valorisation et de défense des paysages que la Mission a un rôle à jouer.
